Belt of hope #Karate2024
Pour que le karaté reste au programme des Jeux Olympiques de Paris 2024
Belt of hope #Karate2024
Le 21 février 2019, le COJO a exclu le karaté de la liste additionnelle des sports olympiques en 2024, alors qu’il sera pourtant sport olympique en 2020.
Il n’y a pas eu d’explications à ce choix dévastateur pour le karaté.
La fédération française, ses 250 000 licenciés et ses 5 000 clubs, la fédération mondiale, ses 10 millions de licenciés et ses 195 fédérations nationales s’organisent pour que le COJO rajoute le karaté sur la liste des sports additionnels.
Que dit le COJO ? Que répond la fédération ?
Il fallait se limiter à 4 sports, et ce choix a été très difficile.
La charte olympique n’indique pas cette limite. La liste des sports additionnels aurait pu comprendre 4, 5 ou 6 sports.
Il fallait rester dans le gabarit de 10 500 athlètes.
Aujourd’hui, on ne sait pas exactement quelles seront toutes les disciplines au programme olympique, on ne peut donc pas calculer le nombre de sportifs par discipline et donc encore moins leur nombre total.
On entend dire enfin que l’image du karaté ne rentre pas dans la vision des JO voulus par le Président du COJO.
Avec 80 athlètes engagés au plus, les karatekas représenteraient 0,56 % du nombre total des olympiens. Le risque de ternir l’image des jeux est donc peu crédible.
Que veut le COJO ? Qu’apporte le karaté ?
Des médailles pour la France
Le karaté ne compte plus ses champions du monde :
– 14 titres aux quatre derniers championnats du monde ;
Le karaté français est redoutable à domicile :
– 7 titres aux championnats du monde de Paris en 2012 ;
– 6 titres aux championnats d’Europe à Montpellier en 2016.
Des jeux inclusifs
La fédération de karaté rassemble des licenciés de tous âges issus de tous les champs sociaux.
Avec ses 5000 clubs, la fédération est présente sur l’ensemble du territoire
Des jeux économiques et durables
Pas d’équipement à construire
Le COJO peut-il changer sa décision ?
Cette situation s’est déjà produite.
En 2000, le COJO de Sydney avait retiré une discipline du programme olympique.
La résistance s’est organisée autour de deux représentants de ce sport, un français et un anglais, qui ont convaincu le COJO de reprendre sa décision.
La France a été finalement très bénéficiaire de ce changement de situation.
Un grand sportif a ainsi pu remporter son premier titre olympique en canoë kayak en eaux vives. Il a aussi pu récidiver en 2004 et en 2012.
Il est aujourd’hui président du COJO.
En tant qu’athlète, il sait mieux que quiconque le soutien que les karatekas portent en lui pour qu’il nous aide à rester au programme des sports additionnels en 2024.




















































































































































































































